L'Échelle de Jacob

 Douche froide - Anecdote copiée !

Lors de la scène de la baignoire, la plupart des glaçons étaient en plastique même si certains étaient vrais.

 Court-métrage et Nouvelle - Anecdote copiée !

Le film est inspiré du court-métrage « La rivière du hibou » par Robert Enrico datant de 1962. Et également de « Ce qui se passa sur le pont de Owl Creek » d’Ambrose Bierce une nouvelle de 1890, qui sera aussi la source de l’œuvre précédemment cité.

 Forte demande - Anecdote copiée !

Beaucoup de réalisateurs de films d’horreur à petit budget étaient intéressés par ce projet. Bruce Joel Rubin, quant à lui, préférait que son scénario reste sur une étagère plutôt que d’être mal fait.

 Rêverie - Anecdote copiée !

Bruce Joel Rubin raconte qu'il a eu l'idée du film lors d'un rêve dans lequel il descendait dans une bouche de métro et où il a attendu le train l’amenant dans une nouvelle bouche de métro. Mais celle-ci n'avait pas d’issues, car elles étaient toutes verrouillées. Soudainement, il a réalisé que le seul moyen de s’échapper était de passer par un tunnel sans savoir d’abord où cela le mènerait. Ensuite, il s’est rendu compte que cela le conduirait en enfer ce qui l’a réveillé, effrayé. Il s’est alors dit que c’était un bon début de synopsis de film.

Ainsi, il a commencé le scénario en écrivant ce rêve, sans ne rien savoir du personnage principal ou de son vécu. Ce n’est qu’ensuite qu’il a songé à un passé de combattant du Viêt Nam pour ce personnage, sachant qu’en 1980, la seule référence sur ce sujet était le film Apocalypse Now. Il a également souhaité que le spectateur ne sache pas ce qui arrive au protagoniste, tout comme le héros.

 Tant de travail - Anecdote copiée !

Le film a nécessité cinq mois et demi de travail.

 Effets non-spéciaux - Anecdote copiée !

Les effets spéciaux ont été faits pendant le tournage et non en post-production.

 Mixte - Anecdote copiée !

Bruce Joel Rubin avait des idées précises sur l’allure des créatures : elles devaient ressembler à des peintures de Bosch avec notamment des becs et d’autres spécificités venant des animaux en gardant l’air humain.

Pour Adrian Lyne, cela a été compliqué, puisqu’il ne savait pas comment le faire sans que cela ne fasse rire les spectateurs. Il raconte même qu’il a fait essayer plusieurs sortes de cornes aux acteurs qui avaient les rôles correspondants et que malgré les tentatives, il n’a abouti à rien de concluant. Après avoir discuté avec le scénariste, il a décidé de prendre une autre approche :

- Ne montrer que 30% de ce qui était effrayant pour que l'imagination du spectateur prenne le dessus.

- Éditer afin d’obtenir le résultat montrant le moins d'images possible. Cela passait par la réduction des images pour une même action.

 Vouloir - Anecdote copiée !

Lorsque Elizabeth Peña a lu le script, elle ne pouvait plus le sortir de sa tête et elle en a été hanté. Elle s’est dit que ce serait son rôle et pendant les six mois d’audition, où elle était rappelée à chaque fois au bout de quelques mois, elle n'en a pas douté.

Par ailleurs, elle remercie Adrian Lyne qui voulait vraiment que ce soit elle pour le rôle.