Le calvaire du maquillage - Anecdote copiée !
Pour Jim Carrey, le maquillage quotidien était comparable au fait d’être enterré vivant.
En effet, le premier jour, cela lui a pris huit heures et demie, et après, il est retourné dans sa caravane et a dit à Ron Howard qu’il ne pourrait pas faire le film.
Puis, Brian Grazer, le producteur (ou la personne qui trouve des solutions, comme le décrit Jim Carrey), est rentré avec l’idée brillante d’engager une personne qui apprend aux agents de la CIA comment endurer la torture.
Il a eu des conseils à appliquer avant d’être mal, tel que d’allumer la télévision, changer ses habitudes, avoir quelqu’un qu’il connaît, se frapper la tête, se frapper la jambe, et fumer le plus possible.
Il avait d’ailleurs un porte-cigarettes pour éviter que sa combinaison en poil de yack ne s’enflamme. C’était horrible pour lui, il se disait “c’est pour les enfants, c’est pour les enfants” (“It’s for the kids, it’s for the kids”). Ce qui lui a vraiment appris à être un maître de la zénitude et également de la patience.
Pour Mindy Sterling, qui joue le rôle de Clarnella, le plus dur à endurer était le maquillage, avec les prothèses. Cela lui pesait énormément.
Pour Clint Howard, s’asseoir dans le siège pour se maquiller a été comparable à un voyage de Dallas au Texas tous les jours.
Tous les acteurs ont eu droit à du maquillage, même Max le chien qui n’a pas tout le temps apprécié. Toutefois, Taylor Momsen n’a pas eu de prothèse, son nez n’avait pas fini de grandir.